

Carole TEYE-TOCZEK
Sophrologue Caycédienne certifiée
Confidentialité & Qualité de service
Code de déontologie :
ARTICLE 29 - Le Secret Professionnel en Sophrologie Caycédienne®.
29.1. Le secret est inhérent à l'exercice professionnel du Sophrologue Caycédien et sera considéré comme un droit des patients ou élèves, de préserver leur intimité.
29.2. Le secret professionnel oblige tous les Sophrologues Caycédiens, quelle que soit la modalité de leur exercice, autant au niveau Clinique que Socio-prophylactique et de la Prévention et Contrôle du Stress et du Développement Personnel.
29.3. Le Sophrologue Caycédien gardera le secret de tout ce que le patient ou élève lui aura confié et de ce qu'il a pu savoir au cours de sa relation à caractère professionnel.
29.4. Le Sophrologue Caycédien a le devoir d'exiger de ses collaborateurs, une discrétion absolue et une observance du secret professionnel, puisqu'ils ont également l'obligation de le garder.
29.5. Le Sophrologue Caycédien ne pourra révéler le secret professionnel que dans les cas suivants:
A) Sur impératif judiciaire, dans le cas où celui-ci soit indispensable face aux tribunaux de justice, et dans la limite des faits strictement nécessaires.
B) Dans le cas de maladies ou situations sociales graves de déclaration obligatoire.
C) Dans le cas où le silence donnerait lieu à de graves préjudices au patient, à l'élève, ou à d'autres personnes.
29.6. Si le Sophrologue Caycédien utilise des systèmes informatiques, il veillera à ce que ceux-ci ne compromettent pas le droit du patient ou de l'élève à son intimité. Dans ce sens il fera en sorte que toute banque de données qui aient un rapport avec les Dossiers Sophro-Cliniques ou Fiches Sophro-Prophylactiques d'Évaluation, soit sous son contrôle et sa responsabilité. En aucun cas il ne permettra que ces données soient branchées sur un réseau informatique qui échappe à son contrôle.
ARTICLE 30 - Qualité des services professionnels prêtés par le Sophrologue Caycédien.
Tous les patients ou élèves ont droit à une attention sophrologique de qualité scientifique et humaine.
30.1. Le Sophrologue Caycédien a la responsabilité de prêter une attention sophrologique de qualité scientifique et humaine, quelle que soit la modalité de sa pratique professionnelle, s'engageant à employer les moyens de la science qu'il représente et de sa professionnalité, d'une façon adéquate à ses patients ou élèves, selon ses dernières connaissances scientifiques, les derniers progrès de la Sophrologie Caycédienne® et des sciences qu’il représente dans le cadre de sa réalité objective.
30.2. Le Sophrologue Caycédien devra s'abstenir de réaliser des activités et des pratiques qui dépassent sa capacité ou qui ne soient pas en rapport avec sa formation professionnelle. Dans les cas nécessaires il proposera la participation d'autres Sophrologues Caycédiens ayant la compétence obligatoire dans la matière.
30.3. Le Sophrologue Caycédien devra disposer de liberté professionnelle et se trouve dans les conditions physiques et psychiques qui permettent d'exercer sa professionnalité avec toute la garantie nécessaire. Dans le cas où ces conditions ne pourraient être remplies, il devra étudier la possibilité de s'abstenir de la pratique professionnelle et en informer les organismes compétents.
30.4. L'exercice de la Sophrologie Caycédienne® est un service basé sur la connaissance scientifique et l'actualisation permanente. C'est donc un devoir déontologique et un engagement éthique que les Sophrologues Caycédiens aient connaissance des derniers progrès scientifiques qui favorisent leur pratique professionnelle. Pour cela ils devront assister à des cours de Recyclage et Réactualisation, aux Congrès et Symposiums qui accomplissent ces objectifs. Ils maintiendront une activité scientifique permanente et annoteront objectivement leurs observations en rapport avec les méthodes qu'ils utilisent, favorisant ainsi la pleine évaluation de celles-ci.
30.5. Les pratiques inspirées du charlatanisme, celles qui manquent de base scientifique ou celles qui proposent des guérisons impossibles ne sont pas éthiques. De même que ne sont ni éthiques ni déontologiques les procédés illusoires ou insuffisamment démontrés, l'application de traitements simulés ou d'interventions fictives.